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Jean François Fayard
-
Au coeur de la Révolution, Paris
Jean-François Fayard
- FeniXX réédition numérique (Albin Michel Jeunesse)
- 9782402947039
De la chute de la royauté, le 10 août 1792, à celle de Robespierre, le 27 juillet 1794, comment vit-on dans le Paris de la Terreur ? Âme et élément dynamique de la Révolution, siège des différentes assemblées et organes de gouvernement, la capitale voit se succéder émeutes et exécutions. Mais elle vit aussi au rythme paisible de ses 500 000 habitants (souvent affamés !), avec leurs joies, leurs peines, leurs difficultés, leurs espoirs, leurs distractions... Des séances tumultueuses à l'Assemblée - ou dans les clubs - aux banquets patriotiques, des réunions de section au Tribunal révolutionnaire, des mariés de l'an II aux livres et journaux, des prisons à la place de la Révolution, où se dresse la sinistre guillotine, de la morale des Sans-culotte aux théâtres et aux lieux de plaisirs... un des moments les plus forts de notre Histoire prend, dans ce livre, un étonnant relief.
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LCPLa Justice révolutionnaire
Jean-Francois Fayard
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- 9782221186299
Chronique de la Terreur... Traitant de la justice révolutionnaire, telle qu'elle s'exerça de septembre 1792 à juillet 1794, jamais un historien n'avait entrepris de l'illustrer dans les faits, mois après mois, jour après jour, en mettant en oeuvre les dossiers de la police, documents incontestables dans leur simplicité même. Jean-François Fayard, juriste et historien universitaire, a mené l'enquête, dont voici les surprenantes conclusions. Fouquier-Tinville, accusateur public du tribunal révolutionnaire, eut à trancher 5343 cas. Grandes affaires politiques - celles de Marie-Antoinette, des Girondins, de Danton, de Hébert, de Robespierre, enfin. Affaires relevant effectivement d'actes contre-révolutionnaires - mais elles ne furent pas plus de 580. Et les autres ? Dans la plupart des cas ? À Paris et en province, ce qui est jugé révolutionnairement, ce sont propos ou attitudes estimés hostiles à la Révolution, le plus souvent sur délation. Et là, ce ne sont ni les politiques ni les aristocrates qui sont condamnés, mais n'importe qui. Un homme a appelé son chien Citoyen ; une femme a réclamé à sa voisine un rouet : un sectionnaire a compris roi... Ainsi, le Tiers-État fournit soixante et onze pour cent des condamnés à la guillotine, contre vingt pour la noblesse et neuf pour le clergé. Ainsi va la Terreur. Comme il est montré dans cet ouvrage, qui remet bien des idées reçues à la place qui leur revient.
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