Dans cette nouvelle aventure, nos héros explorateurs du temps partent à la rencontre de grands astronomes.
Poursuivis par le mystérieux et sinistre Étrusque, parviendront-ils à récupérer l'avant-dernière perle de la lampe des siècles ? Pourront-ils aider leur amie Thaïs, faite prisonnière, à se libérer ?
Dans un voyage de la lointaine île danoise de Vhen, jusqu'au coeur des Alpes, ils apprendront que la science des planètes et des étoiles a été un chemin long et ardu, et qu'il a fallu des scientifiques d'exception pour parvenir à comprendre les secrets du ciel.
La Lampe des Siècles est une nouvelle série jeunesse pétillante, pleine d'aventures et de mystères, créée par Nicolas Le Breton et Gaëlle Giroulet. Intégrant les programmes du CM1 à la 6e et une police facilitant la lecture pour les enfants dyslexiques, elle contient à chaque volume un cahier pédagogique pour prolonger le plaisir en cours ou à la maison.
20 prêts - durée illimitée
C'est une aventure bien singulière qui attend Laura, Hugo et Iassine. Alors qu'ils viennent de trouver une lanterne mystérieuse, une étrange adolescente leur indique qu'ils peuvent s'en servir pour voyager dans le temps, pas pour des vacances non, mais parce qu'ils auront des missions précises à remplir et d'une extrême importance. Qui est-elle ? Et pourquoi ont-ils été choisis ?
Le premier élément de réponse se trouve peut être pendant la seconde guerre mondiale dans le quartier des États-Unis à Lyon...
20 prêts - durée illimitée
On assassine aux Enfers. On a tué, là où nul n'est censé mourir. Un damné a échappé aux tourments éternels...
Seul, Sherlock Holmes élucidera ce mystère effroyable. Mais comment le maître de la logique résoudra-t-il cette énigme dans le royaume de l'absurde, ce théâtre de masques, de faux-semblants et d'incohérence ?
Assisté d'un Watson inattendu, l'enquêteur de Baker Street plonge dans les méandres de l'irrationnel, au plus profond des abîmes de la psyché humaine... et démoniaque.
Il lutte pour sa sauvegarde et celle de ses compagnons dans l'inframonde au risque de s'y perdre, car il est dit que nul ne s'évade des Enfers s'il a partagé le repas des morts.
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L'automobile n'a jamais été inventée. On parcourt le monde en ballons, dirigeables et autres aérostats.
En cette année 1912 monsieur Louis Lépine, préfet de Seine et père du célèbre concours, s'embarque dans une drôle d'affaire. Des morts qui s'animent et enlèvent de belles dames et de savants messieurs (ou l'inverse).
Des moteurs étranges qui soufflent le feu et le froid. Des automates fous et des mécaniques hantées. Une conspiration qui éclaire sinistrement les enjeux secrets de la Première Guerre mondiale.
Dans une course de Paris aux Indes, de l'Himalaya aux champs de bataille d'Ypres, un roman échevelé, qui swingue comme les premières notes d'un jazz endiablé, qui gigue comme le pont du dirigeable dans la tempête, qui siffle de vapeur sous pression et chauffe comme une section de cuivres bien lubrifiée.
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Tandis que les autocraties triomphent, le dirigeable Fin'Amor sillonne les cieux, traqué sans fin.
À son bord : Léontine de Laroche, aérostière d'élite ; son amie Adélaïde de Cointet espionne apatride ; Lawrence d'Arabie ; le mystique Aleister Crowley ; Winston Churchill, le capitaine furieux Armand de Bricqueville... tous pris dans les remous d'une Histoire qui aurait pu être, un monde où les anciennes suprématies se sont renversées, les certitudes effondrées.
Suite et fin du diptyque ouvert avec Les Âmes envolées, du steampunk de la plus belle eau.
20 prêts - durée illimitée
Odregan est poursuivi. L'ombre est sur ses traces. Alors l'homme passe de monde en monde, de formes en formes, de souvenirs en souvenirs, il remonte le fil de son histoire comme il s'élance vers l'avenir. Car celui qui est à ses trousses n'est pas seulement son pire ennemi. C'est aussi une partie de lui-même. Un reflet à la surface du temps.
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Vodenn tapota machinalement son crâne, comme s'il cherchait une calotte-miroir qui n'y était pas. Il eut un regard vide, considérant l'incalculable :
- Odregan ne serait pas une légende ? Odregan serait une réalité ? Je veux dire, on a souvent pensé que ces documents étaient des faux habiles, des manipulations extrêmement bien faites... mais ça ?
Il médita longuement. Un léger soupir lui échappa :
- L'Ico, et Odregan. Les deux plus grands mystères de notre civilisation, réunis.
Un long frisson parcourut les épaules de Vodenn.
La forme immobile d'Odregan semblait attendre un combat avec l'Univers lui-même.
20 prêts - durée illimitée
Deuxième aventure d'Odregan, Quantique des souffrances est une nouvelle qui s'inscrit dans le cycle ouvert par Les Jardins du Feu et du Vide, entre narration fractale et space-opera d'un genre nouveau, où l'humanité s'est dissoute dans l'immensité de l'univers, civilisations égrenées et voyageurs à la dérive, jusqu'à cet objet stellaire, jusqu'à cette planète inaccessible, jusqu'à ce point de la conscience que la conscience ne peut atteindre.
20 prêts - durée illimitée
Laura, Iassine et Hugo repartent à l'aventure ! Grâce à leur lampe magique, ils traversent les siècles pour découvrir les secrets de l'histoire.
Cette fois c'est à Reims, au Moyen Âge qu'elle les emmène. S'ils veulent libérer Thaïs, leur amie captive de la lampe, les trois amis vont devoir aider le roi Philippe à monter sur le trône, trouver de l'argent pour le chantier de la cathédrale, régler une dispute autour d'une drôle de demi-maison, et courir après un alchimiste quelque peu... farfelu.
20 prêts - durée illimitée
Seul un singe qui aurait appris à parler et côtoierait les hommes pourrait dire toute la folie humaine. C'est la fiction qu'imagine Restif de la Bretonne (1734-1806) dans la Lettre d'un singe aux animaux de son espèce. César-singe, animal domestique qui a reçu une éducation classique auprès de sa maîtresse, entend consoler les bêtes des malheurs que leur causent les humains en décrivant leurs pratiques barbares : ceux qui se présentent comme les rois de la nature sont en fait bien plus à plaindre, puisqu'ils s'asservissent entre eux et sont les premières victimes de leurs funestes inventions : la monogamie, la propriété, l'hypocrisie de la politesse et, surtout, l'inégalité et l'esclavage. Un pamphlet très vigoureux, étonnamment contemporain.
30 prêts - 60 mois
Paris, 1781. Pour se prémunir « des grandes et des petites peines du mariage », vingt couples décident de s'associer. Répartition des tâches, des biens et des conjoints : la petite communauté prend ses marques... Dans ce portrait des ancêtres des hippies, Rétif de La Bretonne dépeint avec humour les aléas du mariage. Ce texte insolite est suivi d'un très instructif Tableau analytique du cocuage, par Charles Fourier, et d'une nouvelle aigre-douce de Zola : Comment on se marie.
Hippies, cocus et comptables, chacun trouve son compte dans une savoureuse galerie de portraits. Impertinente, pessimiste - ou peut-être cruellement réaliste ? -, voici une décoiffante exploration du couple.
25 prêts - 3650 jours
La maison de Coligny-Châtillon a presque tout connu en moins de deux cents ans : l'élévation, la gloire, le déclin, la condamnation, les honneurs, l'humiliation, l'exil, la précarité, le prestige, la vengeance et la renommée.
Ce livre poursuit trois ambitions. Retracer tout d'abord, le plus précisément possible, les parcours des membres de cette maison bien connue mais paradoxalement peu étudiée. Analyser ensuite leurs engagements politiques et religieux, d'en restituer les mécanismes, d'en étudier les formes, d'en saisir la portée et d'en dresser les conséquences. Comprendre, enfin, ce qui a pu conduire, en l'espace de six générations, ces hommes et ces femmes des montagnes bressanes jusqu'à la nécropole royale de Saint-Denis, en passant par le gibet de Montfaucon.
20 prêts - durée illimitée
Un récit étonnant, publié en 1798, qui constitue l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature érotique française.
Enthousiaste et voluptueux, « délirant et d'une obscénité inouïe » selon Apollinaire, ce roman raconte les aventures érotiques imaginaires de l'auteur et de sa fille Conquette Ingénue.
On y retrouve tout le talent de Restif, sa passion pour l'inceste, son fétichisme, son goût pour les petits pieds et les chaussures fragiles. Point de tyrannie du plaisir, ici tout ce qui ravit est bon et bien : tout est volupté, amour et tendresse.
Comme le titre de son livre et le ton de sa préface l'indiquent, Nicolas-Edme Restif de La Bretonne écrivit L'Anti-Justine, son oeuvre la plus célèbre, en réaction à la Justine de Sade, même si les « délices de l'amour » décrites par ce libertin contemporain de la Révolution française sont d'une extraordinaire amoralité.
« Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l'infâme de Sade [...] Ce scélérat ne présente les délices de l'amour qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies. »
Collection L'Enfer de la Bibliothèque nationale de France créée par J.-M. Lo Duca.
Enfer : « Partie fermée d'une bibliothèque où l'on tient les livres licencieux, interdits au public. » (Larousse 1966).
Roman numérique illustré, 248 pages, augmenté de 12 aquatintes libres par Le Loup, reproduites en héliogravure, couverture en couleurs. (Enfer de la BnF, cote n°1084).
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L'Anti-Justine, ou les Délices de l'amour est un roman libertin de Nicolas Edme Restif de La Bretonne, paru en 1798. Restif a cherché à être l'anti-Sade, comme il l'annonce dans la préface : « Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l'infâme Dsds [Sade] ; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat ne présente les délices de l'amour, pour les hommes, qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies ; un livre où les sens parleront au coeur ; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort ; où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. » Il a voulu faire un « Erotikon », propre à rallumer les passions éteintes, sans verser dans la cruauté du marquis de Sade : « Pour remplacer la Justine et faire préférer L'Anti-Justine, il faut que celle-ci surpasse l'autre en volupté autant qu'elle lui cède en cruauté... » Le livre se présente comme de la main de Jean-Pierre Linguet, avocat au Parlement, entreprenant de raconter sa vie, son initiation et ses souvenirs. L'Anti-Justine, tel qu'il a été édité, est inachevé, mais le manuscrit original devait avoir une longueur double ou triple de ce que nous connaissons aujourd'hui. En effet, Restif commença l'impression du roman en mars-avril 1798, mais fut nommé sous-chef de bureau dans les services de la police vers mai de cette année, ce qui l'incita très certainement à la prudence. Il semble ainsi que seuls quatre exemplaires (conservés à la Bibliothèque nationale de France, le plus complet s'achevant en milieu de phrase, au début d'une seconde partie alors que sept ou huit sont annoncées) aient jamais été imprimés, rien n'indique qu'il y en eut d'autres. L'oeuvre, tombée dans l'oubli, ne refit véritablement surface que dans les années 1860. Il est à noter que, si Restif abhorrait Sade, Sade détestait de même Restif ; ainsi, le marquis écrivait à sa femme, en 1783, alors qu'il était incarcéré à Vincennes : « Surtout n'achetez rien de ce Restif, au nom de Dieu ! C'est un auteur de Pont-Neuf et de Bibliothèque bleue, dont il est inouï que vous ayez imaginé de m'envoyer quelque chose. »
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