Ils sont hors-la-loi
Mais ils œuvrent pour le bien
Ils sont amis et partagent leurs secrets
Pourtant ils ne se sont jamais rencontrés
Jusqu'au jour où...
***
C'est arrivé la nuit
Le premier tome de la série 9.
" Depuis vingt ans, j'écris pour voir le monde en couleurs...
Pour me calmer aussi.
À quoi sert d'être écrivain, si ce n'est pour raconter des histoires qui interpellent, pour se poser des questions ?
Je m'en suis posé à chaque page, alors j'ai mené l'enquête, résolu, aussi mordu qu'un reporter.
Je suis parti à la rencontre des vrais protagonistes, des hors-la-loi au cœur d'or, des vilains bien sous tous rapports, des manipulateurs, des faussaires, des passeurs, des assassins en col blanc, des putains magnifiques, des journalistes risquant leur peau pour que la vérité éclate, et ce faisant j'ai découvert l'indicible.
J'avais pour habitude de me laisser entraîner par deux personnages.
Cette fois, ils sont 9.
J'ai tout fait pour entrer dans leur bande.
Et ils m'ont accepté.
Cette année, nul besoin de leur dire au revoir à la dernière page.
Parce que l'histoire continue, et elle est loin d'être terminée.
Bienvenue dans le monde de 9 ! "
Marc Levy
15 prêts - 2190 jours
Ils ont trois jours à San Francisco. Trois jours pour écrire leur histoire. Avec un entretien exclusif de l'auteurQue feriez-vous si un fantôme débarquait dans votre vie et vous demandait de l'aider à réaliser son voeu le plus cher ?
Seriez-vous prêt à partir avec lui en avion à l'autre bout du monde ? Au risque de passer pour un fou ?
Et si ce fantôme était celui de votre père ?
Thomas, pianiste virtuose, est entraîné dans une aventure fabuleuse : une promesse, un voyage pour rattraper le temps perdu, et une rencontre inattendue...
Digne des plus belles histoires de Capra et de Billy Wilder,
Ghost in Love donne envie de croire au merveilleux.
Avec un entretien exclusif de l'auteur.
15 prêts - 2190 jours
Entrez au n° 12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer... dans la plus délicieuse des comédies new yorkaises !À New York, sur la 5e Avenue, s'élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres...
Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l'ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l'escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu'il est à la tête d'une immense fortune à Bombay... Et encore moins Chloé, l'habitante du dernier étage.
Lu par l'auteur, avec la participation de Caroline Victoria.
15 prêts - 2190 jours
Au travers du récit, Xavier Huberland entreprend la défense de l'oeuvre de Marc Lévy, un des symboles de l'une des trois tendances majeures de la littérature. En effet, ce n'est que récemment avec la possibilité ouverte par les réseaux sociaux de faire entendre sa voix de lectrice ou de lecteur et de tracer une carrière singulière de critique littéraire, que la littérature injustement réduite au statut de « divertissement » commence à revendiquer une légitimité face aux deux autres tendances principales. Les critiques classiques refusent de se pencher sur des textes où ils ne pourront trouver ni une motivation politique, ni un objectif de travailler le matériau littéraire (travail sur la forme, le langage et la littérature en tant qu'objet). Les nouveaux critiques, eux, considèrent que la force d'un livre n'est pas son engagement politique ni sa portée révolutionnaire au sein d'une tradition littéraire. Il faut avant tout que le livre leur plaise, les emmène autre part. L'auteur de la troisième tendance doit veiller à cette simple demande, ce qui signifie qu'il serait enfin débarrassé de la mauvaise conscience qui inaugurait, selon Barthes dans Le degré zéro du langage, le début de la crise en littérature. Il est intéressant de voir que ce sont justement ces écrivains, en apparence sans « mauvaise conscience », qui sont les plus travailleurs, comme le souligne à plusieurs reprises Xavier Huberland en parlant de Marc Lévy. Or, chez Barthes, la valeur « travail » était justement celle qui qualifiait Flaubert et qui marquait la rupture avec l'écriture de l'âge classique. Ainsi, la troisième tendance de la littérature serait une fille directe de Flaubert que la déroute engendrée par Mallarmé aurait épargnée. Il n'en est évidemment rien. Ceux et celles qui appartiennent à cette troisième tendance éprouvent une tout autre « mauvaise conscience » : ils écrivent et ne font cependant pas partie de la littérature engagée ou de la « grande » et « vraie » littérature. Leurs écrits se voient encore aujourd'hui dénier le titre de « textes littéraires ». Pourtant, l'énergie solaire qui imprègne les écrivains de la troisième tendance leur permet de résister à cette disqualification. Ils reçoivent aussi un grand soutien de leur public. Et c'est ce soutien qui effectue enfin un renversement des valeurs, puisque le lecteur conquis se montre prêt à affronter le regard glacial du critique classique. Le succès est le succès et il faut qu'il soit reconnu comme tel. L'écrivain qui vend une somme astronomique d'exemplaires, traduits dans une vingtaine de langues, a aussi le droit de se faire appeler « écrivain », même s'il ne revêt pas les apparences d'un intellectuel perdu dans ses pensés et frôlant la folie à force de vouloir innover un champ littéraire clos. Notons également que le récit de Xavier Huberland insiste sur le fait que la littérature, comme presque toute activité humaine menée à un certain niveau de virtuosité, est également un travail d'équipe - résultant de l'efficacité des collaborateurs et de l'appui des proches. Et que dans le cas de Marc Lévy, il faut « chercher la femme » dont le nom est Susanna Lea.
20 prêts - durée illimitée
L'enfant demande au kabbaliste : pourquoi suis-je né ? Le kabbaliste répond : parce que tu l'as désiré.Le ton est ainsi donné qui met à distance le gène, l'hormone et la synapse tout en écartant le désir de l'envie, du besoin, du souhait... Si le desiderium latin évoque le « regret d'une absence », c'est sans doute pour corréler le désir au manque. Mais ce manque, peut-on le combler ? Les objets échangés, accumulés, collectionnés avec frénésie s'avèrent inaptes à satisfaire le désir lequel, de ce fait, impassible et indestructible ne se connaît qu'un objet : lui même !Bien sûr que l'Autre y est intéressé. Cet Autre, que me veut-il ?L'objet de mon désir n'est-il pas d'abord le sien ? Ainsi serai-il, le désir, passant par ici, repassant par là, glissant entre les mots, insaisissable, toujours énigmatique...
20 prêts - durée illimitée
La médecine d'aujourd'hui se cherche, quelque part, entre art complexe et science humaine. Mais l'homme, lui, se heurte, depuis toujours, à l'impossibilité d'être ou d'avoir son être. L'humain vassal est condamné à en découdre avec le langage et ses équivoques. Si bien qu'aucun codage, aucun logiciel, aucune objectivation, n'aura raison de la dialectique fondamentale et intime qui lie l'être humain à sa corporéité via ses perceptions, ses discours, son image et ses idéaux. En ayant opté pour une maîtrise essentiellement comptable des dépenses de santé, les Pouvoirs Publics espèrent mettre un terme à la dérive budgétaire. C'est sans doute une erreur. Les faits le prouvent déjà. Les médecins ont donc un défi à relever : faire prévaloir leur éthique, absolument. Car seule l'éthique est apte à garantir la pertinence de l'acte médical, donc de son coût. Placé entre la liberté et la nécessité, le questionnement éthique est fondé sur une référence tierce. L'éthique est un souci dont le ressort est dialectique, la formulation interrogative, l'intention, une esthétique du rapport à l'être, et l'effet, un accomplissement résolutif. Dès lors, cette référence tierce, pourquoi ne pas lui offrir un visage ? Là est la clé de voûte de l'architecture que propose l'Association nationale pour l'éthique de la médecine libérale.Avec le soutien du CNL.
20 prêts - durée illimitée
Dans la langue commune le mot rapport signifie lien, relation, similitude, analogie. En langage mathématique il est assimilable à une fraction. Le rapport entre deux nombres est le quotient exact de ces deux nombres.
Mais entre l'homme et la femme y a-t-il un rapport ?
En quoi la relation génitale, le rapprochement des corps, quel que soit le sexe anatomique établissent-ils un rapport ? De quel rapport s'agirait-il ? De fusion ? De complémentarité ?
D'instinct les animaux s'adaptent à leur environnement, à leurs partenaires. Mais pour nous, « animaux malades du langage », le seul fait de parler nous embrouille en raison du malentendu qui est de structure.
Et puis, s'il y a rapport, comment le dire, comment l'écrire ? Que savons-nous de la jouissance de notre partenaire ? Que pourrions-nous en dire ?
D'où procède pour nous, humains, la nécessité d'évoquer cette question depuis la nuit des temps ? L'amour peut-il en répondre ?
Chacun de nos invités, dans sa spécialité et avec son style tentera d'en témoigner... (Marc Lévy) Actes du IVe colloque du Collège des humanités organisé les 28 et 29 septembre 2014 à Montpellier avec Marc Lévy, Esthela Solano-Suarez, Patrick Lévy, Luc Olivier d'Algange, Jacques Gleyse, Catherine Vidal, Guy Briole, Marta Serra Frediani et Augustin Menard.
20 prêts - durée illimitée
Comment réagiriez-vous en découvrant au fond du placard de votre salle de bains une rayonnante jeune femme ?
L'histoire de Lauren et Arthur défie la raison. Cette jeune femme blottie dans le placard d'Arthur n'est pas vraiment là. Ou plutôt elle est là, mais seul Arthur peut la voir ; pourtant elle n'est ni un esprit ni un fantôme, et si elle semble joliment réelle, parle, râle et sourit, son véritable corps est au cinquième étage de l'hôpital de San Francisco, en état de coma dépassé. Un accident de voiture, six mois auparavant...
15 prêts - 3650 jours
Il y a chez l'être humain - parlêtre dirait Lacan - cette vibration intime et secrète de la chair depuis que le Verbe l'a percuté et cette vibration, cette pulsation, c'est le vivant.
Depuis toujours, l'homme a été intrigué par ce vivant mystérieux. Il a voulu le comprendre, l'expliquer, le maitriser, l'évaluer, etc.
Il en appelé à l'écriture, à l'image, à la philosophie, aux mathématiques, à l'art, aux religions, et plus que jamais à la science. Ainsi sommes nous passés de Thalès calculant la hauteur de la pyramide de Khéops en mesurant l'ombre portée de son corps, à Armstrong marchant sur la lune...
La science dont la fonction est d'établir des rapports n'avait pas, jusqu'à il y quelques décennies, répondu aux « origines » et aux « fins ». Désormais, elle le veut. Et le prouve en dissociant, par exemple, la parentalité de la reproduction ou en nous promettant l'éternité !
Naguère, la puissance du réel était dévolue au divin. Désormais, le discours scientifique s'en empare prouvant une fois de plus que rien n'est plus insupportable que le réel, rien n'est plus déconcertant que l'impossible à dire et à se représenter. Alors, autant le confondre, ce réel, avec la réalité !
Mais, paradoxalement, plus ce discours se veut riche de promesses et plus notre errance s'accroit, ne sachant pas davantage d'où nous venons ni même où nous allons.
« L'(psy) analyse trouve sa diffusion en ceci qu'elle met en question la science comme telle- science pour autant qu'elle fait de l'objet un sujet, alors que c'est le sujet qui est de lui même divisé. » Lacan, Séminaire XXIII, p. 36.Les auteurs : Marc Lévy, Augustin Menard, Patrick Lévy, Esthela Solano, Jacques Borie, J.-P. Laumont, Catherine Vidal, Valerie Arrault, J.-D. Causse, J.-M. Besnier.Actes du colloque organisé par le Collège des humanités les 24 et 25 septembre 2016. http://www.le-college-des-humanites.fr
20 prêts - durée illimitée
« Le vivre ensemble », substantif des temps modernes, fleurit sur toutes les lèvres prétendument autorisées, souvent pour soutenir une argumentation défaillante, parfois pour pointer un idéal à atteindre, toujours pour témoigner d'une impuissance. Mais la formule ne manque pas de charme d'autant plus qu'elle est vide. Elle est l'expression laïque du clérical « amour du prochain » lequel s'égare et s'enlise dans le « comme toi-même » ! Car encore faut-il s'être amendé de la haine de soi !
Les armées comme les églises, parviennent, peu ou prou, à faire « vivre ensemble » à partir d'un idéal partagé, patriotique ou religieux. C'est, alors, une identification individuelle à une finalité collective. Mais on peut parfaitement participer au combat ou à l'office sans pour autant apprécier le compagnon de chambrée ou le prêtre célébrant. Et pourtant, nous vivons ensemble ! Ensemble nous formons un groupe, mais les groupes sont divers et nombreux et ils s'opposent plus souvent qu'ils ne s'unissent ! Vivons-nous ensemble ou à côté les uns des autres ?
Comme le disait Jacques Lacan, la fraternité c'est être « isolé ensemble ». Nous ne sommes frères qu'au titre d'être tous les enfants du logos. De ce logos, chacun a pris sa part singulière ce qui le rend à nul autre semblable...
Ségrégation et discrimination doivent être soigneusement distinguées. La ségrégation (étymologiquement, ce qui est extrait du troupeau) sépare, ce qui suppose l'Autre reconnu depuis, par et pour sa radicale altérité. La discrimination porte, non sur l'Autre comme séparé, comme différent, mais sur un trait de cet Autre dans lequel je ne me reconnais pas et auquel je veux imposer ma modalité de jouissance. À défaut d'y parvenir autant l'éliminer !!
C'est dans le refus de la ségrégation que la discrimination prend sa source. Ce qui peut nous unir, c'est la différence. La dénier expose au pire.Actes du colloque organisé par le Collège des humanités à Montpellier les 23 et 24 septembre 2017.
20 prêts - durée illimitée
Pour la psychanalyse, quand la guérison survient, elle est « de surcroît », nous dit le Docteur Lacan.Va voir un psy ! Formule entrée dans le discours courant, conseil exprimant la lassitude de celui qui écoute les complaintes, invective témoignant de la colère... Peu importe, cette expression devenue commune fait florès, souvent accompagnée d'un « fais-toi suivre ». Tout ça pour dire que « ça ne va pas » ou que « ça suffit ».
Mais quel psy ? Un psychiatre, un psychologue, un psychothérapeute, un psychanalyste, un coach ? Pour dire quoi ? Ce qui ne va pas, ce qui cloche, ce qui se répète ? Ces dernières années ont vu fleurir quelque 400 sortes de traitements divers et variés, émanant tous des meilleures intentions : le bien d'autrui, même si le service des biens est souvent, tel l'enfer, pavé de bons sentiments ! À moins que le marché de l'angoisse n'ait encouragé les convoitises.
Traitement par la parole dit-on, comme si la parole, seule, pouvait suffire. Traitement par la suggestion pour d'autres mais on connaît les résultats de la méthode Coué. Traitement par le dressage, la pédagogie, le médicament, l'hypnose... Traitement des couples, de la sexualité, de la turbulence infantile, traitement des troubles qui vont de la peur des araignées à la peur de mourir. Traitement des maux de notre temps : stress, burn out, dépression, bipolarité, etc. autant de termes cache-misère car on ne sait plus ce qu'ils recouvrent.
Mais pour quelle guérison ? Celle de la souffrance ou celle du souffrant ? Celle de la plainte ou celle du symptôme ? Imagine-t-on guérir de « la souffrance de l'être et de la douleur d'exister ? »
C'est alors que la pharmacologie se délecte. Elle a le remède contre l'insomnie, l'angoisse, la tristesse, le délire et même l'impuissance. Tout lui est bon. Ses projets sont multiples et pleins de promesses.
Il faut reconnaître que notre temps n'a plus le temps... Souvent, c'est lorsque ces approches ont rencontré leur limite que s'entrouvre la porte du psychanalyste. Car le sujet qui lui, demeure en souffrance, comment le libérer de ses espoirs toujours déçus, de ses idéaux inatteignables, de ses craintes et autres inhibitions ? Comment le libérer des standards, des normes qui changent comme les modes. Comment l'amener à assumer sa singularité envers et contre tous les judicieux conseils et bienveillantes suggestions ? Pour la psychanalyse, quand la guérison survient, elle est « de surcroît », nous dit le Docteur Lacan.Avec les contributions de Marc Lévy, Marco Decorpeliada, Jacques Ruff, Valérie Gay-Courajoud, Josiane Boutet, Dalila Arpin, Marion Muller-Colard, Philippe Holzmuller.
20 prêts - durée illimitée
Maya a disparu.
Une course contre la montre s'engage sur le terrain pour les hackeurs du Groupe 9 qui cherchent à déjouer la conspiration des fauves.
Les fauves, une poignée de puissants qui s'attaquent à nos libertés.
Leur plan : créer le chaos, s'approprier toutes les richesses et régner sans limites.
Mais qui est 9 ?
*
Ce nouveau thriller de Marc Levy est la suite passionnante de l'aventure des 9 héros intrépides et attachants rencontrés dans
C'est arrivé la nuit.
9 Robins des Bois d'aujourd'hui, 9 hors la loi qui oeuvrent pour le bien au péril de leur vie.
Un roman d'espionnage engagé qui dévoile de manière éblouissante les dérives de notre époque.
*
À propos de C'est arrivé la nuit (tome 1) " Un roman qu'on ne peut pas lâcher, avec un rythme haletant, une écriture électrique. Il se dévore comme une série. " François Busnel,
La Grande Librairie.
" Un panaché de
Millénium et de James Bond. " Bernard Lehut, RTL.
" Les portraits des personnages sont magnifiques avec leurs fêlures et leur passé... Le fabuleux conteur sait tenir en haleine son lecteur. " Mohammed Aïssaoui,
Le Figaro littéraire.
" Un roman à cent à l'heure... Ce polar remue les tripes et donne envie de rejoindre ces Robin des Bois d'aujourd'hui. émouvant, intelligent et très engagé. " Sandrine Bajos,
Le Parisien.
" Un roman fort et palpitant. " Anne Michelet,
Version Femina.
15 prêts - 2190 jours
L'Agence des Invisibles, menée par Norman Cooper et son ami Kuma Takara, retrouve la trace de personnes disparues au cours des grands conflits, depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu'à nos jours, et reconstitue le déroulement des derniers jours de leur vie ainsi que les circonstances de leur disparition. Comment ne pas vouloir découvrir l'histoire d'un parent proche, quelle famille peut prétendre ne pas connaitre de zones d'ombre, ne pas avoir de secrets ou d'arrangements avec la vérité ? Qui peut être certain de connaitre vraiment l'histoire des siens ? Julia Müller débarque à New York pour savoir ce qui est arrivé à son père, Friedrich Müller, navigateur dans la Luftwaffe disparu avec son bombardier en 1941. L'Agence des Invisibles est réputée comme la meilleure quand il s'agit de retrouver des personnes disparues.
50 prêts - 1825 jours
Elle avait entendu l'histoire de gens qui se sont rencontrés au bon et au mauvais moment, de ceux qui se sont aimés jusqu'au bout, de ceux qui ont aimé sans pouvoir le dire, de ceux qui pensent " au début j'ai tout raté " et puis ensuite...
15 prêts - 2190 jours
Le Petit Voleur d'ombres n'a jamais eu peur des orages.
Mais il faut avouer que cette nuit-là, la nature se déchaîne.
C'est le moment que les ombres ont choisi pour lui confier une mission de la plus haute importance.
Et pour la mener à bien, il aura grand besoin de l'aide de son amie Cléa !
La sixième aventure du Petit Voleur d'ombres par Marc Levy, l'écrivain français le plus lu dans le monde, et l'illustrateur Fred Bernard, triple Goncourt jeunesse.D'après le best-seller de Marc Levy,
Le Voleur d'ombres.
30 prêts - 2190 jours
L'atome : tant de questions autour d'une si petite chose !
C'est que, derrière les connaissances enseignées dès le collège et le lycée – structure, taille, propriétés, etc. – se cachent bien des surprises. Quels rapports entre l'atome et l'électricité, l'atome et la lumière, l'atome et la guerre, voire l'atome et la religion, et même, l'atome et les ornithorynques ? Il fallait l'habileté et l'humour de l'auteur, physicien et grand-père, pour nous inciter à relier joyeusement ces éléments et à secouer une fois encore nos certitudes. Au fil du dialogue, nous apprivoisons électrons et nucléons, bosons et fermions, quarks et gluons et plongeons au cœur même de la matière !
Jean-Marc Lévy-Leblond, professeur émérite de l'université de Nice, est physicien, essayiste et éditeur. Il est aujourd'hui l'un des meilleurs artisans de la " mise en culture " des sciences.
Bonus : 7 erreurs se sont glissées dans le dessin de couverture. Retrouvez-les au cours de votre lecture.
30 prêts - 2190 jours
Ce que la science sait est une chose, ce que la science est en est une autre.
Un physicien, amateur d'histoire et de philosophie des sciences, discute avec sa petite-fille: À quoi sert la science ? Quel rôle joue-t-elle dans la société ? Pourquoi y a-t-il des sciences différentes ? Que font vraiment les chercheurs dans leurs laboratoires ? La science pourra-t-elle tout expliquer ?
L'activité scientifique, on ne le dit pas assez aux collégiens et lycéens, est étroitement liée aux autres pratiques humaines. Il faut donc comprendre ce que la science a de spécifique, son évolution au cours des siècles, sa place dans la culture, ses rapports avec la technique, la politique, voire avec le sport ou la religion.
Ce dialogue, à contre courant de nombre d'idées reçues, nous fait partager les interrogations mais aussi les plaisirs que peuvent susciter les sciences.
Jean-Marc Lévy-Leblond, professeur émérite de l'université de Nice, est physicien, essayiste et éditeur. Il est aujourd'hui l'un des meilleurs artisans de la " mise en culture " des sciences.
30 prêts - 2190 jours
Ce livre rhapsodique réunit des essais sur l'histoire, la culture, la philosophie, la littérature, la langue, des sciences modernes. Il s'agit, comme dans une éprouvette de chimiste, de provoquer des réactions entre ces diverses matières de pensée, dans l'espoir de voir se produire des combinaisons inédites et stimulantes.
La science aujourd'hui est trop complexe quant à son travail propre, trop impliquée dans les rapports sociaux, trop liée aux formes idéologiques dominantes, pour n'être analysée qu'en termes épistémologiques, sociologiques ou historiques séparés. C'est de tous côtés à la fois qu'il s'agit de la comprendre – et, peut-être, de la transformer.
De la confrontation entre une histoire de la science à venir, une analyse du réel selon la physique, une réflexion sur les rapports de Simone Weil ou de Bergson avec la science, une relecture moderne de Lucrèce, un apologue sur l'ignorance savante, une visite au chat de Schrödinger, une lettre à Marie Curie et une autre à Gustave Flaubert, un éloge des controverses, une lecture critique de la culture scientifique, un divertissement sur la chute des astronomes dans les puits, un scénario de science-friction, etc., on souhaite que se dégage une certaine effervesc(i)ence.
Jean-Marc Lévy-Leblond, professeur émérite de l'université de Nice, est physicien, essayiste et éditeur. Il est aujourd'hui l'un des meilleurs artisans de la " mise en culture " des sciences.
30 prêts - 2190 jours
Pourquoi le ciel est-il bleu ? Qu'est-ce que le rayon vert ? Et quelle est la couleur du ciel sur Mars, Vénus ou Titan ? Y a-t-il des arcs-en-ciel de Lune ?
Entre la physique et l'astronomie, le grand physicien épistémologue Jean-Marc Lévy-Leblond explique, avec le talent d'un conteur, les phénomènes célestes qui nous entourent et mettent de la couleur dans notre monde.
Il évoque les phénomènes physiques et aussi les savants tels que Galilée qui pour lui a apporté d'essentiel : l'idée que le monde céleste et le monde terrestre ne font qu'un et que les lois physiques y sont les mêmes, à l'encontre de la tradition aristotélicienne qui séparait le monde terrestre, le nôtre, monde de l'imperfection et du changement, du monde céleste, monde de la perfection et de l'immuabilité.
Un formidable texte sur les interrogations mais aussi des plaisirs que peuvent susciter les sciences.
prêts illimités - 36 mois
Est-il possible d'apporter quelques touches de couleur aux portraits convenus de Marie Curie ? Tel est le pari de ce recueil de lettres, dont les signataires viennent des sciences, des humanités et de l'art.
Écrites aujourd'hui, bien qu'expédiées dans le passé, ces lettres nous rapprochent d'une femme exceptionnelle par des voies très diverses. Certaines rendent un hommage intime à l'icône au double Nobel, ou discutent au contraire savamment avec elle, d'autres encore s'attachent à nuancer certains traits de son image.
Cette occasion d'abolir le temps, d'oublier les limites des identités, a démultiplié l'inventivité des messages et la portée de leurs éclairages. Ils en disent long sur notre temps et révèlent la place immense que Marie Curie occupe parmi nous.
Jean-Marc Lévy-Leblond est physicien et essayiste. Il dirige les collections scientifiques au Seuil et la revue Alliage.
Auteurs : Françoise BALIBAR, Bernadette BENSAUDE-VINCENT, Isabelle BERGOËND, Elisabeth BOUCHAUD, Faouzia CHARFI, Catherine CLÉMENT, Irène FRAIN, Etienne GUYON, Ghada HATEM-GANTZER, Eva HEMMUNGS WIRTÉN, Emmanuelle HUISMAN-PERRIN, Renaud HUYNH, Joanna KUBAR, Edouard LAUNET, Michèle LEDUC, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND, Rémy MOSSERI, Nathalie PALANQUE-DELABROUILLE & Clara DELABROUILLE, Hubert REEVES, Marjane SATRAPI, Elzbieta SIKORA, SMITH et Jean-Philippe UZAN, Pierre VERSCHUEREN.
20 prêts - durée illimitée
La gloire d'Alan Turing commence vers la fin du XXe siècle, bien longtemps après sa mort.
Il aura donc fallu attendre l'informatisation du monde, la divulgation de ses activités de décryptage durant la Seconde Guerre mondiale et la levée des tabous sur l'homosexualité, pour que son génie mathématique déploie enfin toutes ses dimensions scientifiques, culturelles et personnelles.
Ses recherches très variées, et notamment sa célèbre machine, sont loin d'avoir donné tous leurs fruits. Nous vivons en partie dans une sorte d'« espace de Turing » mal connu, que les lettres rassemblées ici explorent avec humour, savoir et affection.
Jean-Marc Lévy-Leblond est physicien et essayiste. Il dirige les collections scientifiques au Seuil et la revue Alliage.
Auteurs : Henri ATLAN, Ali BENMAKHLOUF, Pierre BERLOQUIN, Catherine BERNSTEIN, Gérard BERRY, Pierre CASSOU-NOGUÈS, Jean-Paul DELAHAYE, Jean DHOMBRES, Jean-Pierre DUPUY, Nazim FATÈS, Jean-Gabriel GANASCIA, Sylvie LAINÉ, Jean LASSÈGUE, Jacques LECLAIRE, Hervé LE GUYADER, Laurent LEMIRE, Ignazio LICATA, Giuseppe LONGO, François NICOLAS, Odile PAPINI, Jean-François PEYRET, François RIVENC, Sara TOUIZA-AMBROGGIANI.
20 prêts - durée illimitée
Des lois de la mécanique quantique à celles de l'alchimie stellaire, de Démocrite à Einstein en passant par Aristote, ce livre nous révèle les secrets du monde tant macroscopique que microscopique qui nous entoure.
25 prêts - 3650 jours
Les questions de la science et de la technique apparaissent, dans l'actuel contexte, comme plus décisives que jamais. C'est pourquoi Jean-Marc Lévy-Leblond a jugé opportun d'apporter sa contribution au grand débat national qui doit se dérouler sur l'organisation et les finalités de la recherche, en rassemblant différentes études écrites à partir de son expérience de la science, tant au laboratoire qu'en amphithéâtre et dans l'édition.
Le débat sera fécond s'il échappe à deux pièges symétriques: se limiter aux questions purement scientifiques, se consacrer aux seules priorités politiques et économiques. D'où les trois confrontations que propose ici l'auteur, afin d'ouvrir la discussion à tous: science et science, science et culture, science et politique.
L'urgence des mesures à prendre ne doit pas nuire aux réflexions sur le long terme. Tout en commençant àélaborer les réponses de circonstance, il faut donc continuer de poser les questions de fond. C'est dire le rôle de l'esprit de sel, cet acide au pouvoir décapant.
L'auteur:
Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, est professeur à l'université de Nice. Il dirige les collections Science ouverte et Points-Sciences aux Editions du Seuil.
30 prêts - 60 mois
Ces trois conférences ont pour objectif d'expliciter les conceptions que la physique moderne se fait de la matière, et tout particulièrement l'impact sur ces conceptions des révolutions quantique et relativiste qu'a connues le début du xxe siècle. L'accent y est mis sur la nouveauté et l'originalité de nos idées quant à la constitution de la matière plutôt que sur les propriétés spécifiques de ses constituants. Comme on le verra, la notion même d'objet physique et les concepts qui permettent de localiser, caractériser et dénombrer ces objets, puis d'analyser leurs interactions, ont subi des mutations profondes, trop souvent masquées par un formalisme mathématique ardu, totalement absent de ces leçons.
Il s'agit au fond de présenter la pensée physique moderne de la matière telle qu'en elle-même l'a transformée un bon siècle de pratiques théoriques et techniques.
Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien, épistémologue et essayiste, est professeur émérite de l'université de Nice et directeur de programme au Collège international de philosophie.
Auteur de plusieurs ouvrages de réflexion critique sur la science contemporaine, il dirige la collection " Science ouverte " au Seuil, ainsi que la revue Alliage(culture, science, technique).
30 prêts - 2190 jours