À trente et un ans, Elizabeth Gilbert possède tout ce dont une américaine ambitieuse peut rêver : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Elle devrait nager dans le bonheur, pourtant elle est rongée par l'angoisse, le doute, l'insatisfaction...
S'ensuivent un divorce, une dépression et une liaison désastreuse qui la laissent exsangue et encore plus désemparée. Elle décide de tout plaquer pour partir seule à travers le monde.
À elle de se construire la vie qu'elle s'est choisie !
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les "douze kilos les plus heureux de sa vie", en Inde, ashram et rigueur ascétique l'aident à discipliner son esprit (lever à 4 heures du matin, méditation et nettoyage des sols !) et en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver l'équilibre qu'on appelle le bonheur...Elisabeth Gilbert nous invite à un voyage vers l'inconnu joyeux et émouvant, libéré des mascarades et faux-semblants. Àtravers une mosaïque d'émotions et d'expériences culturelles, elle a su conquérir le coeur de millions de lectrices qui ont aimé pleurer et rire avec elle. Et qui rêvent de changer de vie, elles aussi.Découvrez l'enquête exclusive du Figaro Madame.fr sur:
http://madame.lefigaro/societe/enquetes/249-mange-prie-aime-sur-la-route-du-bonheur
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De sa naissance en Angleterre à la fin du XIXe siècle à son véritable développement à partir des années 1960, avec l'épopée des joueuses rémoises et les victoires américaines en Coupe du monde et aux Jeux olympiques, ce livre retrace cent cinquante ans d'histoire du ballon rond au féminin. Intrinsèquement liée aux luttes féministes, cette histoire est faite de hauts et de bas, portée par des joueuses courageuses, qui se sont battues pour pouvoir exercer un sport et assouvir leur passion, souvent en dépit de l'avis des gouvernements, journalistes et fédérations de leur époque, qui auraient préféré voir ces femmes à la maison plutôt que sur un terrain. Dans les années 1990, après bien des batailles, le football féminin connaît enfin l'âge de son expansion sur tous les continents et continue aujourd'hui à gagner en puissance. Hubert Artus fait ainsi un tour du monde inédit et mouvementé de l'état de la discipline, des pays africains au Proche-Orient, de l'Amérique latine à l'Asie.
Ce livre est nourri d'interviews de joueuses, de coachs et d'agents en activité, ainsi que de futures jeunes stars françaises, explorant ainsi le football féminin de demain, celui de l'égalité salariale et du soft power.
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« Anne-Marie ne sera même pas capable de balayer les couloirs d'un hôpital ! »Cette sentence familière à bon nombre de naufragés de l'orthographe, Anne-Marie Gaignard l'a entendue enfant, avant d'être diagnostiquée dyslexique et abandonnée à son sort. Elle-même persuadée d'être « nulle », elle traîne sa mauvaise orthographe jusqu'à la première partie de sa vie professionnelle. Lire un livre, écrire une carte, rédiger un mail : les gestes du quotidien deviennent une épreuve et un véritable tourment. Son ras-le-bol monte jusqu'à ce qu'elle découvre tardivement qu'elle n'est pas dyslexique, mais dysorthographique. Elle n'a simplement pas assimilé la méthode d'apprentissage utilisée par ses instituteurs. Et cela se corrige !Dans La revanche des nuls en orthographe, Anne-Marie Gaignard raconte ses blessures et son expérience, celles aussi des enfants stigmatisés, des adultes méprisés, autant d'êtres en souffrance auxquels elle propose une approche iconoclaste faisant la part belle à l'empathie. Sans concessions, elle tacle une certaine catégorie d'enseignants, de médecins, de spécialistes en tout genre, avec une gouaille volontiers provoc. Aujourd'hui, son combat n'est plus seulement personnel. La dysorthographie n'est pas une maladie et les solutions existent.Les nuls en orthographe prennent la plume, et ils ont beaucoup de choses à dire.
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Un animal fantastiqueet une lecture fantastique.Donna Leon
Sauvage, prédatrice, monstrueuse : la pieuvre alimente dans l'imaginaire collectif les peurs et les légendes les plus tenaces. De l'aquarium de Boston aux récifs coralliens de Polynésie, Sy Montgomery est allée à la rencontre de ces créatures mystérieuses, point de départ d'une amitié unique en son genre. La douce Athéna, Octavia l'agitée, Kali la curieuse ou encore Karma et sa joie de vivre : chaque pieuvre fait montre d'une remarquable intelligence, que ce soit pour s'échapper de son bassin, changer de couleur selon ses humeurs, dénouer des énigmes complexes...
Au fil de ses interactions aussi surprenantes qu'émouvantes, et à l'aide de données scientifiques passionnantes, l'auteur nous dévoile à quel point, et contre toute attente, cet invertébré nous ressemble et a tout à nous apprendre. Récit joyeux et profond, L'Âme d'une pieuvre a déjà conquis des milliers de lecteurs de par le monde.
Avec une préface inédite de Donna Leon.
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Dans la Lorraine contemporaine, le portrait d'une femme à la conquête de sa liberté.
Annelise est envoyée en reportage par sa rédaction à Villey-Saint-Etienne, petit village des bords de la Moselle, pour couvrir la distribution de vin aux villageois le jour de Pâques, une tradition locale séculaire. L'occasion pour cette quinquagénaire de s'éloigner quelques temps de sa vie bousculée entre un mari infidèle, deux grands enfants sur le départ et un père âgé en perte d'autonomie, enfermé dans son silence.
Sur la route des vignobles de Toul, les souvenirs ramènent Annelise une trentaine d'années auparavant, en 1969. Toute jeune cheftaine, elle a animé un camp scout non loin de là. Parenthèse enchantée où elle a connu son premier amour...
Pourquoi a-t-elle renoncéà ce garçon qu'elle aimait ?
Alors que son existence vole en éclats, Annelise prend conscience de la chape de secrets et d'interdits qui pèse depuis toujours sur ses épaules.
Est-il encore temps de se délivrer du passé ? Et au prix de quelles révélations ?
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Avant, tout semblait simple : la reproduction était le résultat de la sexualité et le foetus se développait dans le mystère du ventre maternel. Rompant avec des millénaires d'inconnu et de fatalisme, la médecine du foetus permet maintenant de connaître tous les détails de la période intra-utérine, de détecter précocement les troubles du développement prénatal et, le cas échéant, d'y remédier.Les bouleversements autour de la reproduction font cependant surgir mille questions médicales, juridiques, morales, éthiques et sociales qui exigent des choix cohérents.Le débat sur la question foetale a été jusqu'ici occulté tant est grande la crainte qu'il nuise au droit des femmes à l'avortement. L'individualisation du foetus ne s'y oppose pourtant en rien.Implicitement, mais certainement, une nouvelle société se dessine et le statut du foetus reste dans le flou. Il devient urgent de penser cette question de manière objective, de dépasser l'opposition entre chose et personne dans laquelle nous restons enfermés par peur d'ouvrir la boîte de Pandore.
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Le 19 juillet 2019, le Tour de France célèbre les 100 ans du maillot jaune, imaginé par Henri Desgrange pour permettre aux spectateurs de reconnaître le premier de la course. Jaune, comme le soleil de juillet. Jaune, comme le quotidien sportif L'Auto, créateur et organisateur du Tour.
Les plus grands champions (Coppi, Bobet, Anquetil, Merckx, Hinault, LeMond, Indurain, et Armstrong, le banni) ont ramené plusieurs fois le maillot jaune à Paris. D'autres l'ont porté une journée, couronnant ainsi de jaune leur palmarès. Et Raymond Poulidor a conquis sa gloire en courant après tout au long de sa carrière.
Mais, pendant la course, la vie continue. Les événements n'ont pas manqué au cours des mois de juillet des cent dernières années : signature du Traité de Versailles, accords de Genève, fin de la guerre d'Indochine, victoire de Charly Gaul faisant écho au retour du général de Gaulle en 1958, suites des remous des émeutes de mai 68, premier pas sur la lune quelques heures après la première victoire d'Eddy Merckx. Mille histoires lient le Tour et la politique, les champions et les présidents. Aucun Français ne l'a gagné depuis Bernard Hinault en 1985, mais le Tour de France, ce mythe national, reste un monument sportif en même temps qu'une immense fête, avec le maillot jaune pour drapeau.
Devenue journaliste pour pouvoir suivre le Tour de France, Béatrice Houchard a couvert six campagnes présidentielles pour La Nouvelle République du Centre-Ouest, La Vie, Le Parisien, Le Figaro et L'Opinion. Elle est notamment l'auteure de Faut-il arrêter le Tour de France ? (Larousse, 2009) et Le Fait du Prince (Calmann-Lévy, 2017).
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- Avez-vous été champion du monde grâce à l'EPO ?
- Oui.
- Des médecins vous ont-ils chargé ?
- Oui.
- Le faisiez-vous pour l'argent ?
- Oui.
- Vous seriez-vous dopé sans l'appât du gain ?
- Non.
- Aviez-vous le sentiment de bafouer l'éthique sportive ?
- Non.
- Aviez-vous peur pour votre santé ?
- Non.
- Avez-vous peur pour votre santé ?
- Oui.
- Avez-vous acheté vos médailles ?
- Quelques-unes.
- êtes-vous une exception ?
- Non.
- La naissance de votre petite fille est-elle pour quelque chose dans vos aveux délibérés ?
- Oui.
- Vous sentez-vous aujourd'hui soulagé ?
- Oui.
- Pensez-vous que le cours des choses s'améliorera ?
- Non.""
Ex-champion du monde de VTT, ex-champion de France de cyclo-cross, ancien coureur professionnel sur route (notamment chez Festina), Jérôme Chiotti, né en 1972, est le premier coureur de haut niveau en activitéà avoir osé briser la loi du silence. Aujourd'hui en butte aux sanctions du pouvoir sportif, il apporte ici un éclairage nouveau sur un sport dont on croyait pourtant tout connaître : dopage, complaisance des médecins, filières d'approvisionnement, arrangements illicites, mafias des courses, sans oublier les pratiques effroyables en vigueur parmi les amateurs.
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Pour « l'équipe du Respect », une nouvelle saison de football va débuter. Ce sera l'occasion pour Alex, Grégory, Pierre, Lucas, Abdel, Éric, Djibril, Jérémie, Patrick, Mamadou, Samir ou encore Maeva de disputer des matches très instructifs...Rejoins-les, et gagne toi aussi le seul match qui compte : celui du respect !
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L'HISTOIRE DE PARIS PAR UN GASTRONOME
Paris, sa Seine, sa tour Eiffel, son Louvre... et sa gastronomie. Lieux de mémoire, de convivialité et de délices depuis deux siècles, restaurants et bistrots font la réputation de la capitale. Pour Jean-Claude Ribaut, la quête d'une bonne table devient prétexte à découvrir la ville, à aller de quartier en quartier à la recherche d'une recette oubliée, d'un refuge enchanteur, d'une bouffée de vie.Dans un esprit littéraire et flâneur, Jean-Claude Ribaut nous raconte mille et une anecdotes savoureuses ; avec humour et délicatesse, il nous plonge ainsi dans son histoire d'un Paris méconnu, pleine de récits de dîners inoubliables et de rencontres gourmandes.
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Le destin brisé d'une légende du footballPour s'être opposéà la volonté de Mobutu, Pierre Ndaye Mulamba, l'attaquant vedette des Léopards du Zaïre, a tout perdu. Gloire nationale et faire-valoir du régime, après avoir remporté la Coupe d'Afrique des Nations et qualifié son pays pour la Coupe du monde 1974, il est devenu l'homme à abattre du dictateur zaïrois.Sauvagement agressé par les hommes de mains du pouvoir, qui le laissent pour mort après avoir assassiné son fils sous ses yeux, il est contraint d'abandonner sa famille et de s'exiler. Réfugié en Afrique du Sud, où il est quasiment réduit à la mendicité, l'ex-champion tente de survivre depuis quinze ans dans les townships du Cap.Son histoire tragique, celle d'un dieu du stade devenu SDF, symbolise les liens complexes qui entremêlent parfois le sport, la politique, l'argent et les droits de l'homme. De l'ascension du jeune Pierre aux exploits de « Mutumbula », la terreur du ballon rond, jusqu'à la descente aux enfers d'un monument du football mondial, le récit poignant d'un destin exceptionnel.
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Le 22 mai 68 au petit matin, un groupe de footballeurs révoltés décide d'investir les locaux de la Fédération française de football, 60 bis avenue d'Iéna à Paris. Cette occupation qui ne durera que quelques jours a pour devise de rendre « le football aux footballeurs ».Quarante ans plus tard, l'histoire du sport français n'a que peu fait état de cette action de révolte. Pourtant, le monde du football s'en est trouvé modifié. La représentativité des acteurs a été reconnue et les responsabilités mieux partagées. Certains règlements administratifs restrictifs ont été abolis (le contrat à vie) et, sans faire sa révolution, le football français a offert un nouveau visage.Le 26 janvier 2007, cette devise que ces « enragés du football » ont exhibée cinq jours durant sur la façade de la Fédération a eu une résonance particulière puisqu'il fut le slogan de campagne de Michel Platini dans sa course à l'accession à la présidence de l'UEFA. (Union européenne de football)...Pour revenir sur ces événements, Alain Leiblang, Faouzi Mahjoub, tous deux acteurs de l'occupation, ainsi que François-René Simon, footballeur acquis à ces idées, ont rencontré bon nombre d'intervenants de l'époque.
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Béloni, qui tient un bistrot à Saint-Junien, près de Limoges, est un monde à lui tout seul. Contrebandier d'occasion, séducteur sans pareil, psychanalyste à ses heures, ce Basque conquis par le Limousin est le gourou et le chef de meute d'une équipe d'adolescents prolongés qui le suivraient au bout du monde.Entrez chez lui et vous ferez connaissance avec quelques gaillards déchaînés et bon enfant, aussi ardents sur les terrains de rugby que rapides à siffler une fille ou un pastis. Chronique d'un temps des copains et tableau de la vie de province dans une bourgade de la France profonde, ce roman est un livre à part dans l'oeuvre d'un écrivain volontiers sombre et tragique : Béloni est un texte allègre et souvent désopilant, un divertissement qui célèbre les plaisirs de l'amitié, du sport et de la littérature.
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Les hommes sont-ils devenus mous ? Errent-ils, hagards et désemparés, à la recherche de leur virilité perdue ? Ont-ils été définitivement réduits à l'état de robot-gratounette et de papa-éprouvette par vingt-cinq ans de féminisme revanchard ? C'est ce qu'on voudrait aujourd'hui nous faire croire. En ce début des années 90, le malaise des hommes, dernier dada des sociologues, s'étale en couverture des hebdomadaires et se dissèque à longueur d'essais savants. À braquer systématiquement les projecteurs sur une minorité d'éclopés de la guerre des sexes, on oublie un peu vite que la plupart des nouveaux hommes sont plutôt bien dans leur peau. Non, les mâles ne vont pas si mal. Le jour où les femmes, encore sous le choc de leur spectaculaire révolution culturelle, auront résolu leurs propres contradictions, ils iront encore mieux. En attendant, laissons-les vivre...
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Si la « rénovation de l'enseignement secondaire » vous intrigue, si vous vous interrogez sur les concepts pédagogiques nouveaux qu'on essaie d'introduire dans les lycées, si vous vous demandez comment il faut s'y prendre pour faire, d'un professeur enthousiaste, un charançon grouillant obscurément sans se poser de questions, alors cet ouvrage devrait vous intéresser.On y voit le fantôme de Jules Ferry entreprendre une enquête pour vérifier si les principes fondateurs de l'école publique sont toujours en vigueur dans les lycées : étudiant la valse des instructions officielles, le jargon des didacticiens, « l'évaluation nationale » obligatoire en seconde, le malheureux spectre ne cesse de découvrir les absurdités d'un système qui semble consacrer toute son énergie à s'organiser lui-même ; il lui faudra rencontrer un professeur pour apprendre pourquoi tout ne va pas si mal dans l'univers scolaire, et en quoi la vie des charançons deviendra poétique...Ce second essai de Corinne Bouchard allie à la virulence du pamphlet l'humour caustique qui avait fait le succès de La Vie des charançons est assez monotone.Agrégée de lettres modernes et écrivain, l'auteur enseigne depuis dix ans dans des lycées du Nord et du Centre.
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Toute la vérité, rien que la vérité, est-ce possible entre un homme et une femme ? Un couple doit-il vraiment être un confessionnal ? Sylvie, Jean-François, Maud, Vincent : comme tout le monde, ils ont parfois - ou souvent - menti à leur conjoint, dissimulé une tranche de leur vie, oublié de signaler un détail, un rendez-vous, une lettre... Maurice T. Maschino les a interrogés, eux et une centaine d'autres, anonymes ou célèbres, qui font dans leur couple des petites ou grandes économies de vérité. C'est à partir de leurs témoignages, souvent piquants ou émouvants, toujours passionnants, qu'il a écrit ce livre, sous forme d'enquête, sur la plus vieille pratique du monde : le mensonge conjugal.
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Les hommes se conduisent-ils au lit comme dans la vie ? Tel notable politique, bon père de famille, bon mari, enlace brusquement sa jeune secrétaire dans l'ascenseur ; tel enseignant bien noté, honorablement connu, n'a qu'une idée en tête : augmenter son tableau de chasse. Même chez le plus évolué, subsiste toujours, quelque part, un pithécanthrope qui ne dort que d'un oeil. Impétuosité du désir, fragilité du vernis civilisateur, inconstance, agressions verbales - ou tout simplement égoïsme farouche - : il n'est pas d'homme qui ne représente, pour une femme, un danger potentiel ou une source de souffrance. La révolution féministe qui a soufflé ces dernières années n'a fait que des vaguelettes. Rien n'est changé en profondeur : les femmes demeurent pour les hommes des objets de consommation, à jeter après usage. C'est ce que montre cette enquête où, à côté d'hommes et de femmes longuement interviewés, interviennent de nombreux spécialistes : médecins, sexologues, psychologues, et aussi... prostituées. D'où qu'ils parlent, tous font le même constat : le comportement sexuel des hommes est terriblement archaïque. La mère et la putain restent leurs deux modèles, quoiqu'ils disent.
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Bien sûr, vous avez été un enfant martyr, victime innocente d'un sort cruel. Vos parents étaient trop riches ou trop pauvres ; ils avaient fait de vous un enfant unique ou, au contraire, vous avaient flanqué d'une ribambelle de frères et soeurs. Vos parents étaient trop cools, ou trop sévères ; trop cultivés, ou trop autoritaires ; psychanalystes, fascistes, divorcés, marxistes... Peut-être votre mère était-elle trop belle, votre père trop lointain, ou tous les deux trop envahissants. Quoi qu'il en soit, vous ne savez pas comment leur pardonner ce qu'ils furent - ce que vous êtes. Alors, vous écrivez. Vous commencez par évoquer chacun de ces types, chacune de ces figures, avec rage. Puis vous évoluez vers l'ironie, vers l'humour, avant de vous glisser dans les habits de la tendresse. De la férocité, vous êtes passé à l'amour, de la haine au pardon... Au long de cette galerie de personnages, trop caricaturaux pour ne pas être profondément vrais, vous découvrez que, s'il est parfois dur d'être un enfant, il n'est pas toujours facile d'être parent. Mais que le rire permet de faire passer bien des choses.
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Procréation médicalement assistée, fécondation in vitro. Derrière ces mots, il y a des aventures personnelles, des joies et des peines, des couples à qui on redonne espoir avant de les voir déchanter, puis retrouver parfois le bonheur. Derrière cette formidable révolution scientifique et médicale, il y a leur désir, leur doutes, leurs angoisses, et surtout ce long chemin, qui dure souvent plusieurs années et bouleverse leur vie.
À partir de son expérience au sein de l'équipe médicale de l'hôpital Antoine-Béclère, dans le service du professeur Frydman, Béatrice Koeppel a voulu témoigner. Raconter le parcours des futurs parents, avec ses étapes nombreuses, complexes ; évoquer la dimension affective et psychologique de cette aventure, qui transforme profondément les êtres. Montrer, enfin, le processus en tenant compte du point de vue des hommes, qui font souvent figure d'oubliés dans cette affaire.
Tenant la chronique de la vie quotidienne dans le service, racontant de très nombreux cas, Béatrice Koeppel nous offre un magnifique témoignage sur une aventure humaine exceptionnelle.
Béatrice Koeppel assure depuis bientôt dix ans le soutien psycholo-gique des couples dans le service de procréation médicalement assistée de l'hôpital Antoine-Béclère, à Clamart.
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Véritable phénomène des pistes depuis son plus jeune âge, à vingt-deux ans, Lewis Hamilton a disputé sa première saison au volant d'une F1 au sein de l'écurie McLaren. Premier pilote noir à s'asseoir dans un baquet, à l'égal du golfeur Tiger Woods Lewis Hamilton a été« préparé»à réussir dans cette voie. S'il a échoué de peu au sacre mondial, le jeune Anglais aura au moins marqué les esprits par son talent (indéniable) et sa personnalité (attachante). Coéquipier du double champion en titre, l'Espagnol Fernando Alonso, leur capacitéà l'un comme à l'autre de pouvoir briguer le titre suprême va faire naître une tension et une rivalité au sein de l'écurie qui n'est pas sans rappeler celle qui existât entre Prost et Senna à l'époque où ces deux derniers roulaient pour la même écurie : McLaren-Honda.
C'est parce qu'il a vécu l'éclosion de ce champion depuis ses premières courses de karting et qu'il est l'un des plus grands spécialistes de formule 1 en France, que Lionel Froissart nous raconte cette première saison d'Hamilton en F1 en le suivant « presque » pas à pas, dans « sa roue ».
Les premiers écueils, les premiers coups de gueule, les premiers succès, les premiers gros contrats, les moments de doute, tout est ici raconté et pesé. Voilà qui n'est pas un livre de plus sur Hamilton, mais simplement le livre qu'il fallait écrire cette année, la première d'Hamilton parmi l'élite, celle d'ores et déjà d'un « débutant génial ».
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Des parents attendent un enfant. Voilà que frappe la mort. Accidentelle, nécessaire ou vitale, l'interruption d'une grossesse est toujours un choc, un deuil. Mais il n'est pas dans les habitudes d'en parler. Ou plutôt, on minimise cette disparition : « Patientez ! Vous en aurez d'autres...»
Psychiatre-psychanalyste, l'auteur reçoit depuis longtemps les patient(e)s qui ont à vivre la mort d'un non-né ou d'un bébéà peine né. Puisant dans la matière de ses consultations, Muriel Flis-Trèves restitue l'origine et la force de ces souffrances. Elle s'interroge aussi, à la lumière d'autres cultures, sur les rituels qui peuvent rendre ces deuils possibles.
Ce livre est écrit pour permettre à ceux qui veulent être parents de dénouer la perte pour espérer à nouveau.
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Comment devient-on obèse ? Y a-t-il une différence entre surpoids et obésité ? Comment passe-t-on de l'un à l'autre ? Cette société d'abondance dans laquelle nous vivons ne va-t-elle pas à l'encontre du diktat de la minceur que nous subissons ? Et quelles sont les mesures et les prises en charge les plus adaptées pour limiter ce phénomène et venir en aide aux personnes qui en souffrent ?
Commençons par la faim, cette faim insatiable, mais faim de quoi ? Trop souvent il est demandé de commencer par la fin : se mettre au régime. Or, privation entraîne frustration et à terme transgression.
Catherine Grangeard propose ici d'écouter ce que les personnes obèses, reçues dans son cabinet de psychanalyste, ont à dire. Obésités, au pluriel. Si le problème est pluridimensionnel, les solutions aussi. Maux croisés, psyché et corps.
Par-delà la nécessaire réflexion sur le phénomène de société, Catherine Grangeard poursuit dans ce livre d'autres finalités : d'abord, aider les personnes en surpoids et obèses à mieux vivre ; ensuite, offrir les outils pour déjouer durablement les mécanismes divers et variés en jeu ; enfin, retrouver une liberté longtemps mise en péril en réconciliant les éléments épars de sa propre histoire, qui pipent les dés dangereusement et à notre insu.
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Livres et bébés ne feraient pas bon ménage ! " Ils sont trop petits, ils vont tout déchirer ", entend-on souvent.
Pourtant, les bébés, avant même de savoir parler, sont friands d'albums illustrés. Regardez-les : ils les feuillettent, les explorent en tous sens et écoutent avec passion leurs derniers récits.
Le bébé, qui reçoit les soins maternels, a besoin de jeux avec l'imaginaire, sans lesquels il ne saurait accéder au langage ni à la vie de l'esprit.
A contre-courant de l'apprentissage précoce, l'ouvrage de Marie Bonnafé fait l'éloge de la " lecture pour rien ", de la gratuité, du plaisir.
Marie Bonnafé est psychiatre, membre de la société psychanalytique de Paris, fondatrice avec le professeur René Diatkine, de l'association ACCES.
Cet ouvrage, publié chez Calmann-Lévy en 1994, reparaît aujourd'hui revu et enrichi. Une préface du professeur Bernard Golse vient s'ajouter à la préface écrite par le professeur René Diatkine pour la première édition.
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Le 12 juillet 1998, la bande à Zidane propulse l'équipe de France sur le toit du monde. Des scènes de joie et d'hystérie collectives offrent au monde entier un visage conquérant de « la France qui gagne ». Aujourd'hui encore, chaque Français se souvient de ce qu'il a fait ce jour-là, et de ces millions d'individus prenant d'assaut les Champs-Élysées et les principales artères des villes françaises. À l'instar d'un 14 juillet, le 12 est définitivement devenu une date à part dans l'histoire de France.Mais que s'est-il vraiment passé dans les coulisses de cette journée ? Pour Bixente Lizarazu, Laurent Blanc, Frank Leboeuf, Bernard Lama, Alain Boghossian ou Leonardo ? Pour Michel Platini, coprésident du comité d'organisation ? Pour Philippe Massoni, le préfet de police de Paris ? Pour Stéphane Meunier, vidéaste embarqué au sein de l'équipe de France et réalisateur des Yeux dans les Bleus ? Pour eux tous, mais aussi pour d'autres moins connus (intendant de l'équipe de France, supporters, volontaires, etc.), cette journée a eu une saveur inoubliable.Pour revivre ces vingt-quatre heures de folie qui ont donnéà la France des airs de Libération, Xavier Rivoire a rencontré un à un tous ces acteurs. À tous, il a demandé de reprendre leur agenda personnel et de se rappeler. Anecdotes jamais entendues, secrets pas encore révélés, joueurs connus ou femmes et hommes restés jusqu'à présent en retrait : C'était un 12 juillet permet de remettre en perspective. De sourire. De se souvenir.
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